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L'auteur

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Professionnel

Présentation classique et pompeuse, comme une vraie.

Né à la fin des années soixante en France, Guillaume Vincent a vécu sous de multiples cieux, des îles du Pacifique au Québec. Il vit maintenant en Bretagne depuis une dizaine d’années.

Ses livres sont traversés par le vent du large et imprégnés de spiritualité. Au travers d’histoires souvent gaies, Guillaume Vincent s’interroge sur la part d’inconnu du monde, sur le rôle des idées et des mots comme matières de l’univers.

Par ordre chronologique, Carnets de notes regroupe des nouvelles écrites avant l’année 2000, Johnny Milou est un premier roman qui dessine une hypothèse plausible quant à la place de l’humanité dans l’univers et La vaisselle est une histoire courte et intimiste relatant les débuts d’un amour prédestiné.

Portrait inquisiteur

Présentation des débuts du site, auto-inquisition un peu paranoïaque.

La profession ?

Je suis un écrivain pas publié.

Pour preuve : je ne dis pas "non publié", ou "qui n'est pas publié", je dis "pas publié"... Ce n'est pas français, mais la sonorité est meilleure...

Dans le monde imaginaire et idéaliste dans lequel je voudrais vivre, je n'ai pas de profession, ni de compétences particulières, je plane entre le monde réel et les mondes magiques, je me consacre à l'écriture.

On pourrait dire que je suis un philosophe mais je n'en ai ni la prétention ni le sérieux. Plutôt un troubadour...
Disons que je me balade, j'aime bien ça. Je me balade, je regarde le monde, j'essaye de comprendre. Pas tout, forcément, mais une petite partie. Ce que je peux en fait. Et j'écris ce que je vois...

Et la profession réelle ?

Question perfide !

Oui, forcément, comme tout le monde j'ai un boulot gnan-gnan qui me permet de subvenir à mes besoins. C'est sympa de se balader dans la vie, mais ça requiert un minimum de moyens...

Bon, la question est close, ça ne vous avancerait à rien de savoir à quoi je m'use...

Vous aurez cependant deviné que ça n'a pas grand chose à voir avec l'écriture.

Mon âge ?

Ça je peux le dire, ça ne coûte rien. Le problème est que ça varie, et je n'ai pas envie de modifier cette page à chacun de mes anniversaires...

Alors disons seulement que je suis né autour de mai 68...

Pourquoi "Guillaume Vincent" ?

Les lecteurs assidus n'auront pas manqué de noter que "Guillaume Vincent" est un pseudonyme. Voudrais-je me cacher, préserver ma vie privée ? Non, vous n'y êtes pas. D'ailleurs je ne prends aucune précaution pour cacher mon vrai nom, vous le trouverez un peu partout sur ce site. Il se trouve que quand j'ai commencé à écrire, la première fois que je me suis relevé, la nuit, pour coucher sur le papier une émotion qui me maintenait éveillé, j'ai signé Guillaume Vincent. Je ne sais pas d'où ça me venait, pourquoi j'avais choisi ce nom plutôt qu'un autre, je ne savais d'ailleurs pas non plus pourquoi j'avais signé ce texte. Mais il se trouve que cette première nuit a été suivie par beaucoup d'autres et que, par fidélité, j'ai conservé le nom.

Aujourd'hui j'hésite encore à m'en séparer, bien que le principe d'utiliser un pseudonyme ne me plaise pas spécialement...

Nous verrons pour la suite...

Portrait schizophrène

Schizophrène, mais tout de même assez juste !

(Initialement écrite pour le site LELLO)

Qui je suis ?

Je m'appelle Guillaume Vincent, et je vis dans les limbes. Oh certes, un corps m'héberge ! Un corps de chair et de sang, qui vit, qui s'use. Mais, au fond, cela n'a pas grand-chose à voir avec moi... Sachez tout de même que, par nécessité, j'ai choisi mon hôte rêveur – s'il ne l'était pas, il ne m'aurait jamais entendu. Et je l'ai aussi voulu voyageur, au travers de ses yeux, j'ai vu le monde. On le dira schizophrène, soyez cléments : la faute m'en incombe.

Parcours dans l'écriture

J'ai soufflé un premier poème à mon hôte, à sa main, au printemps 1986, puis de nombreux autres pendant les dix années qui suivirent. Après cela, il m'oublia, absorbé qu'il était à vouloir fuir sa vie. Au printemps 2003, enfin, je réussis à le faire revenir à ma réalité, pour un premier roman, Johnny Milou, puis un deuxième, La vaisselle. Maintenant, nous vivons une symbiose prometteuse, un troisième roman est en cours, Au bout du monde, et, surtout, surtout, un quatrième qui ne cesse de mûrir.

Portrait en image

Une seule image plus parlante que bien des mots.

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