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13 septembre 2006
Je suis tout ça, tout l’univers, toutes ces étoiles qu’on voit, tout autant que les pierres, l’herbe, les arbres et les insectes. L’essence de l’univers est au fond de moi. L’univers m’habite tout autant que j’y habite. Mon âme, mon énergie, sont une infime partie du but de l’univers, une expérience du libre arbitre. Une des expériences dans les tentatives de l’univers pour diriger sa propre construction.
21 juin 2006
1er juin 2006
On peut décider d’être joyeux tous les matins, simplement parce qu’il est impossible de prévoir ce qu’il va se passer dans la journée… Même si la journée passée à été cataclysmique, mêmes si toutes les journées des dix précédentes années l’ont été !
4 mars 2006
Notre conscience s’élève en permanence vers des temps de plus en plus « rapides ». Relativement, nous percevons l’univers de plus en plus grand, il nous parait que l’énergie ne peut que diminuer et que l’entropie de l’univers baisse irrémédiablement. Dans ce mouvement, nous ne percevons qu’une fine frange temporelle que nous identifions par deux limites dont les symboles sont la vitesse de la lumière et le zéro absolu, zéro degré kelvin. La « densité du temps » peut être mesurée par ce que nous appelons énergie, de ce zéro absolu à l’infini positif qui est la vitesse de la lumière.
12 février 2006
Les équations mathématiques sont une expression de notre perception, de notre imagination. Par exemple, quand la relativité restreinte affirme que la vitesse de la lumière est constante dans n’importe quel référentiel, elle le fait par rapport à la perception d’un observateur : pour deux observateurs situés dans deux référentiels différents, le temps ne s’écoule pas de la même façon. Est-ce l’écoulement du temps qui varie, ou la perception que nous en avons ?